Partouze bi très cochonne

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il y a 9 ans

Bonjour. Je m’appelle Mathilda j’ai 26 ans, je mesure 1,65 m, je pèse 60 kg, je suis brune à la peau claire, mes mensurations sont 95-70-85 et je porte des lunettes à monture épaisse.

Lors d’une sortie en boîte avec des amies nous avons fait la connaissance de deux garçons. Nous avons dansé, discuté et échangé adresses et téléphones. Un soir l’un d’eux, Fernand, m’a appelée et demandé si je voulais boire un coup en fin d’après-midi avec lui. Je lui ai répondu que oui. Il m’a donné rendez-vous dans un café du quartier Latin. Nous avons parlé de tout et de rien puis au bout d’une demi-heure il m’a proposé de faire un tour chez lui.

La stratégie du dernier verre, je connais bien, mais Fernand, malgré la différence d’âge (il en avouait 39 mais devait en avoir plus) était fort attirant et j’acceptai l’offre sans problème. Son appartement est décoré avec goût, il me dit travailler dans le show-biz, il y en a qui ont de la chance ! Il met de la musique classique, tamise les lumières, on boit un verre et il commence à devenir entreprenant, mais je me laisse faire.

Un moment son portable sonne, il se lève pour répondre. Il ne fut pas long, mais en revenant il ouvrit son ordinateur… En voilà un comportement qu’il est bizarre !

  • Viens voir c’est marrant ! Un copain vient de m’appeler pour me donner le nom d’un site, il parait qu’il s’en passe des bonnes.

Allons bon, je ne suis pas vraiment venue pour surfer sur Internet, mais que voulez-vous…

Le site en question est en fait un site de chat. Je m’installe à côté de Fernand, il nous inscrit tous les deux sous des pseudos. Il y a plein de mecs qui cherchent des plans cul : il y a ceux qui ne cherchent rien mais qui fantasment à mort, il a aussi des hommes avec des pseudos féminins qui finissent par se faire repérer car ils n’ont pas l’habitude d’accorder les mots au féminin.

On s’est branchés assez rapidement avec un dénommé Draculot, qui était assez délirant dans ses propos et comme quelques imbéciles venaient parasiter notre conversation nous avons rejoint un » salon privé ».

Et là, le gars devient très direct :

  • On cherche un couple pour s’amuser une heure ou deux, on est deux mecs sympas.

  • Vous êtes où ? Demande Fernand.

  • Paris 5ème.

  • On n’est pas très loin ! On peut avoir l’adresse ?

  • Non, je ne donne pas d’adresse, mais pointez-vous devant le bistrot « Le Bar Hautes Chaises » Place Maubert. J’irai vous chercher, vous pouvez être là à quelle heure ?

  • Dans 20 minutes.

Je suis un peu dubitative, mais Fernand m’explique que déjà il y a une chance sur deux pour que ce soit bidon, et que ce rendez-vous secondaire permettra de voir à qui nous avons affaire et de ne pas s’embarquer dans une aventure hasardeuse.

  • Ils ont quitté le « chat », c’est bon signe ! Me confie Fernand en me laissant « garder l’appartement ».

Une demi-heure après, il revenait avec les deux types. Oups ! Bonnes bouilles, mais ils ont tous les deux la cinquantaine. On se présente. De Draculot nous ne connaitrons que son pseudo et son complice se fait appeler Pinocchio.

Nous avons commencé par prendre un verre, mais ce protocole (obligatoire ?) fut assez vite expédié..

  • On fait quoi, on se met à poil ? Demanda Draculot qui sans attendre de réponse commença à se déshabiller. Pinocchio en fit de même. Ils avaient tous les deux une très belle bite. Mais j’étais un peu déroutée, attendant la réaction de Fernand pour réagir.

Fernand se déshabilla à son tour… Je me lançai donc à l’eau en retirant à mon tour mes vêtements mais sans me presser. Pendant ce temps Fernand s’était approché de Draculot et lui tripotait la bite. Je rêve ! Tous ces mecs seraient donc à voile et à vapeur ! Mais je n’étais pas au bout de mes surprises car bientôt Fernand se mit à sucer la bite du type. Et c’est qu’il avait l’air d’aimer ça, l’animal ! Pinocchio vint alors vers moi et entreprit de me retirer mon soutien-gorge, je me laissai faire, il avait l’air tout content de découvrir mes seins et se mit à les soupeser et à les tripoter. Il passa sa langue autour de mes mamelons qui se dressèrent. C’est bien la première fois que je me faisais peloter par un papy grisonnant !.

Ma main se dirigea vers son sexe et je le branlai un petit peu. Il se laissa faire pendant quelques instants, puis me demanda de le sucer. Sa bite sentait un peu la pisse et me fit venir à l’esprit quelques souvenirs plutôt salaces.

Nous avons sucé ces deux vieux cochons pendant quelques minutes, chacun le sien.

Puis soudain je vois que ça bouge à côté de moi, Fernand s’est relevé, Draculot prend une capote et se la met sur la queue. Ils ne vont quand même pas ? Ben si ! Fernand se retourne ! Quelle jolies fesses il a, celui-ci, j’aimerais bien les lui lécher, mais je pense que j’en aurai tout à l’heure l’occasion, la soirée n’est pas terminée…

Pendant que je regarde ces préparatifs, Pinocchio est venu s’accroupir entre mes jambes et me débarbouille la chatte avec sa langue, j’adore quand on me fait des trucs comme ça !

Draculot lèche la rosette de Fernand, le doigte (« un doigt, deux doigts…que c’est bon quand ça passe par là » comme le dit la chanson). Laquelle chanson se poursuit « Un doigt je suis heureux, mais sentir venir une bonne queue, c’est encore bien mieux ! » Et c’est exactement ce qui se passe : l’ami Fernand se fait enculer sur l’air du Boléro de Ravel ! (attention ça dure 17 minutes !)

  • Et moi, alors ? M’écriai-je en soutenant le regard de Pinocchio.

  • Tu voudrais que je t’encule ?

  • Oui, je voudrais bien !

  • Chère madame, vos désirs sont des ordres, présentez moi vos jolies fesses !

  • Voilà ! Dis-je en me retournant, ces présentations vous conviennent-elles ?

  • Je crois que je vais approfondir la question !

  • Oh, oui vas-y approfondis moi !

Ce qu’il fit, et c’est parti pour une séance de pistonnage intensif. C’est qu’il a de l’endurance le Pinocchio, il ne fait pas semblant, il assure, et mon plaisir se diffuse partout dans mon ventre, je finis par hurler telle une louve une nuit de chaleur..

  • Les voisins ! Les voisins ! S’inquiète Fernand.

Il est trop grave ce mec, de s’inquiéter des réactions du voisinage pendant qu’on l’encule !

Et puis tout d’un coup, Pinocchio se retire de mon cul, Draculot se retire de celui de Fernand, ils changent de capote et permutent. Pinocchio vient derrière Fernand et Draculot derrière moi !

Hé, Oh ! On aurait pu me demander mon avis, et puis c’est quoi ce cirque, qui a sifflé ce changement de partenaire ? Je prépare mentalement une protestation vacharde, mais j’ai déjà la bite de Draculot dans mon cul, alors… je me laisse faire.

Il ne baise pas de la même façon que son comparse, les coups sont plus secs et plus profonds, finalement j’aimais mieux l’autre, mais ce n’est pas mal quand même.

  • Tu veux un sandwich ? Me demande mon enculeur

Mais qu’est ce qu’il raconte, ce n’est pas le moment de manger ! Mais comme je gémis de plaisir il a dû prendre ça comme une approbation. Et le voilà qui m’abandonne en plein climax. Où va ce pitre ? Dans la cuisine, chercher du pain et du camembert ? Pas du tout, il reste là. Petit conciliabule entre les trois bonhommes. Ils filent dans la chambre. Et moi, alors ? Du coup je les suis. Pinocchio se couche sur le dos et me fais signe de venir m’empaler sur lui.

OK, je crois avoir compris et vais pour présenter mon trou du cul au-dessus de sa bite.

  • Non, ta chatte !

  • Ben pourquoi ?

  • Ton cul c’est pour Fernand.

Ah bon c’était ça le sandwich, la meilleure place c’est celle du jambon et en l’occurrence, c’est moi le jambon, une bite dans le cul, une autre dans le con. Ça pilonne de partout, je gémis de plaisir, et quand Draculot me présente sa queue afin de la mettre en bouche je ne peux la refuser, abondance de bites ne saurait nuire !

C’est la chevauchée fantastique, ce n’est plus le Boléro qu’il conviendrait de jouer mais la chevauchée des Walkyries. Je suis sûre que Wagner l’a composé en baisant ! (ou en se faisant baiser).

Cinq minutes plus tard, le lit s’étonnait d’avoir sur lui, trois hommes et une femme complètement exténués, couverts de sueur et sentant la baise.

Je me lève la première, demande où sont les toilettes, il faut absolument que je pisse.

  • On va y aller ensemble ! Me dit Fernand, venez les gars on va faire une pipi party !

C’est quoi ça encore ?

  • Accroupis-toi ! Tu n’as rien contre une petite douche dorée ?

  • C’est quoi ?

  • C’est très pervers, comme tu aimes !

Alors si c’est pervers !

Et voilà mes trois Marx Brothers qui se mettent à me pisser dessus, ce n’est pas ma première expérience uro, c’est ma seconde mais ils n’ont pas besoin de le savoir. La sensation de l’urine qui dégouline sur mon corps est délicieuse. J’en avale un tout petit peu au passage. J’en ai partout, je pisse à mon tour, sur le carrelage de la salle de bains, après ce qu’ils ont fait, je ne vais pas me gêner, mais ce n’est pas moi qui nettoierai.

Ils me laissent, c’est dommage, je serais bien repartie pour un tour. Je prends une douche vite fait, je me sèche et c’est là que j’entends des brides de conversation.

  • Tu vas lui dire ?

  • Non peut-être pas !

  • C’est toi qui vois ! En tout cas bravo ! Super ta mise en scène ! On te laisse, bonne bourre ma poule !

OK ! J’ai compris, tout était prémédité, je me disais aussi : un rendez-vous sur le chat qui se concrétise aussi vite (et aussi bien, car de ce côté-là je ne vais pas non plus me plaindre) c’est quand même exceptionnel. Tu parles que c’est exceptionnel ! Ce que je n’admets pas c’est d’avoir été manipulée, je ne suis pas un jouet.

Je me rhabille sans un mot, Fernand est affalé dans son fauteuil un verre rempli de je ne sais quoi à la main, il a changé de disque et nous passe maintenant du jazz, un morceau très fin de nuit, de ce qui se joue quand on veut faire partir les derniers danseurs à moitié bourrés.

  • Tu t’en vas ?

Je suis partie sans un mot ! Dehors il pleuvait, je n’avais pas de parapluie… c’est la vie !

FIN

Mathilda Stenberg

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